vendredi 31 mai 2013

Une invitée surprise 2 : le réveil...



Elle est là blanche, nue et innocente. Un léger courant d’air frais caresse ton dos et fait frissonner la belle. Surprise, Leyla tourne la tête. Là encore je profite de sa surprise et la soulevant, elle vient dans un petit cri s’empaler sur mon sexe tendu. L’eau et le savon lubrifiant sa peau d’albâtre, elle se retrouve empalée sur mon sexe tendu. A peine a-t-elle le temps de bafouiller dans un gargouillis un faible « oh non pas encore ».

Je lui rétorque, malicieux « oh mais si et pendant tout ton séjour » et en riant j’ajoute « tu es contente n’est ce pas ? » Ma main glisse alors de sa taille si fine, vers sa chatte que je sais accueillante. Je commence à la doigter en rythme alors que chacun de mes coups de reins, font décoller ses petits pieds du sol. Mes doigts écartant les parois de ses lèvres intimes pour s’y frayer un passage, agacent les parois sensibles de son sexe.

Mon autre main agrippée à un sein, la voilà transformée en bilboquet, sautillante, gémissante au bout de cette queue tendue de désir pour elle. Quelle délicieuse sensation si enivrante de tenir là à bout de bras, et de queue, une de ces femmes, si fières, qui font ramper tant d’hommes à leurs pieds. Son odeur m’envahi, sa peau douce au grain s fin, si féminin glisse sous mes doigts. De petits cris ponctuent chacune de mes pénétrations, tandis-que je sens sa poitrine se soulever et battre son cœur de petit oiseau affolé.

Alors que je me cabre pour mieux la pénétrer, un clic-clac familier résonne dans le couloir. La voix mélodieuse et enjouée de ma Maîtresse se fait entendre « où être vous passés ? Le petit déjeuner est prêt. » La poignée se tourne et mu par un instinct de conservation, je me précipite horde la douche, laissant là une Leyla en équilibre précaire.

J’arrive devant le lavabo alors paraît dans l’embrasure de la porte la mine réjouie de Julie. « Mais que faites vous là ? » s’étonne t-elle. « Bon le petit déjeuner est prêt, je vous attends » ajoute elle l’air amusée avant que je n’ai pu bafouiller la moindre excuse. Puis, tournant les talons, elle retourne à la cuisine, ce que confire le claquement régulier de ses talons qui s’éloignent.

Saisissant une serviette je me sèche à la hâte puis lui emboite le pas. Je le retrouve toujours nue et juchée sur ses mules rouges à hauts talons. En bon petit soumis je me précipite et m’agenouillant révérencieusement, je lui présente mes hommages de doux baise-pieds déposés délicatement sur chacun de ses petits ongles vernis, rehaussés de carmin, si finement manucurés dont j’inhale les fragrances et le goût salé de la sueur et, plus subtile de cosmétique.

Leyla, arrivée sur ses entrefaites d’une démarche légèrement arquée, observe légèrement amusée, depuis le seuil de la cuisine la scène. Un sourire espiègle se dessine sur son visage angélique. « Voilà ma revanche » se dit-elle. Elle pose alors un pied sur mon dos, et me clouant au sol embrasse son amie.

Ceci me fait penser que « décidément les tables tournent bien vite dans cette maison. » Julie prenant une chaise, pose alors son autre pied sur mon dos, me transformant ainsi en meuble aussitôt imitée par son amie. Les voilà papotant et devisant sans plus s’occuper de moi. Quelle honte vraiment ? Mais était ce tout ? Ce serait oublier la malice de notre hôtesse barcelonaise qui à cet instant tout en déjeunant se mis à fouiller de son petit pieds mon fondement offert à ses soins.

Mes pauvres efforts pour repousser cet assaut n’eurent alors d’autre effet que de provoquer l’hilarité de ma Maîtresse et pour moi une nouvelle vague de honte. Mon anus n’offrant guère de résistance celle-ci pu même ajouter perfide, d’une voix de fausset « tu sais j’ai déjà commencé à l’éduquer de ce côté-là aussi, et même il en redemanderait tu sais ! » Les deux amies rigolent de plus belle tandis que je rougis tant et plus.

Cette semaine pourtant commencée sous les meilleurs auspices promet décidément d’être bien plus humiliante que je ne l’imaginais. Je suis là aux pieds de ces deux femmes magnifiques, dont la première m’a d’ors et déjà asservi alors que la seconde vient de trouver une occasion en or de prendre sa revanche.

(à suivre)

lundi 27 mai 2013

Sarah Prieux se fait dresser


Sarah Prieux soumise parMarc Cotté

vendredi 24 mai 2013

Une invitée surprise...



A résidence chez ma Maîtresse, Julie en sa lointaine retraite de Suède, je m’évertue de lui donner tout le plaisir et le confort qui lui sied.

Aujourd’hui en rentrant du marché elle se trouve toute excitée. En entrant dans la maison elle me tend ses pieds et à genoux je la déchausse après les lui avoir embrassés. Puis elle se précipite vers le téléphone avec une lettre à la main déjà décachetée. Je la suis prudemment. Je la vois se précipiter en ligne et prudemment tout à ma curiosité je me faufile sous la table pour lui lécher les pieds tout en tâchant d’en savoir plus, mais bien entendu, c’est peine perdue.

Elle se baisse au bout d’un moment en me regardant, pensive. Son visage s’illumine soudain et elle se met à me gratter la tête. « Tu es curieux mon gros chat me déclare t elle. Hé bien figure toi que nous allons avoir de la visite et pas plus tard que demain. » L’air mystérieuse elle se lève et me laisse là bouche bée avant de se diriger vers les chambres en chatonnant. Je ne peux m’empêcher d’admirer le doux balancement de ses hanches, son allure souple et sa silhouette élancée.

Le lendemain, ma Maîtresse s’absente non sans m’avoir recommandé d’être bien sage, l’air toujours bien mystérieux derrière son joli sourire d’ange, qui me fait fondre. Deux heures plus tard, j’entends le moteur de sa Volvo qui vient se garer devant la maison. Mais que vois-je ? Elle n’est pas seule… Surgissant du côté passager, quelle n’est as ma surprise de voir surgir une jolie brune que je connais bien derrière ses lunettes de soleil… Leyla, tout juste descendue de l’avion. « Voilà donc la clé du mystère », me dis-je.


Mais je n’ai pas le temps de me poser plus de questions. Comme à mon habitude alors que les deux femmes pénètrent dans la maison, je fais la fête à ma Maîtresse, légèrement intimidé par la présence de celle que j’ai si souvent soumise, ne sachant trop quelle contenance adopter en sa présence. S’en apercevant, malicieuse comme elle est, elle ne perd pas une si bonne occasion d’en tirer avantage et se met à jouer des tours à sa façon. Pour commencer, elle se met à me tirer la langue et à me faire des grimaces alors que ma Maîtresse tourne la tête.


Épuisés par tant d’émotions et après nous être restaurés, nous nous dirigeons vers la chambre. Ma Maîtresse et son invitée s’étant apprêtées pour se mettre au lit s’embrassent. A mon tour, je baise les pieds de celle à qui j’appartiens et rentre prestement dans mon sac de couchage prés d’Elle. Elle grimpe dans le lit s’appuyant sur mon dos, puis après une brève lecture, la lumière s’éteint.

Là au pied de ce lit, je me tourne et me languit. Puis n’y tenant plus, ne parvenant à trouver le sommeil et après avoir épié leurs respirations devenues paisibles, je me décide. Prenant mon courage à deux mains, je me glisse discrètement sous les draps du côté de Leyla, lui serrant la taille d’une main et posant l’autre sur sa bouche pour lui en faire un bâillon. Celle-ci surprise, sursaute et tente de se dégager. « Après tout ce voyage impromptu était-il une si bonne idée ? »

A mon tour de m’interroger. « Quelle va être sa réaction ? Va-t-elle protester et réveiller ma Maîtresse ? Si jamais elle me trouve là dans son lit elle risque d’être fort d’être fâchée et de me punir. » C’est son amie après tout et je viens de violer une de ses règles. Il est quand même trop tard pour faire machine arrière, d’autant que Leyla à présent sortie des limbes du sommeil et la première stupeur passée, commence à regimber.

« Voudrais-tu que Julie t’entende je lui susurre dans le creux de l’oreille ? » Je dois dire que la situation ne manque pas de piquant et qu’elle m’excite au plus haut point. Leyla se calme et je commence à faire glisser mon membre entre ses fesses offertes. Je pousse doucement, la pénétrant avec délicatesse jusqu’à entrer en entier en elle. Geignant doucement, elle se tend.

De ma main qui l’enserre, je sens son cœur battre la chamade. J’effleure doucement un sein puis promène cette main sur son triangle secret. Je le masse doucement en décrivant à sa surface de petits cercles, puis faisant de mon majeur un crochet, je pénètre entre ses lèvres intimes. La jolie catalane roule des yeux ronds et ouvre la bouche. Un doigt y prend place.

Puis par de petits mouvements de mes reins je commence de petits mouvements de va et vient en elle, ponctués de gémissements feutrés. « La belle y prendrait-elle goût ? » Ondulant des reins, j’imprime en elle mon mouvement. Son odeur et la chaleur de ce corps et de sa Féminité sont enivrantes.

En un ultime aller-retour, je me tends tout à coup et décharge en elle ma semence brulante et tout à ma jouissance, n’y tenant plus, je la pousse en avant. Elle bouscule ma Maîtresse qui, sentant son souffle chaud sur sa nuque, se tourne. Le souffle court, je me retire après avoir essuyé ma queue sur les cheveux de Leyla. Je retourne alors à ma place, observe un instant Leyla qui se lève pour aller à la salle de bain en se dandinant puis sombre enfin dans les bras de Morphée.

J’émerge au matin alors que le soleil est déjà haut dans le ciel et le lit déjà vide, le membre tendu. Sur la pointe des pieds je me dirige au bout du couloir et vous observe vous activer dans la cuisine, magnifique dans votre nudité, perchée sur vos mules rouge à hauts talons. Mais alors que je l’appel de la vénération se fait pressant, j’étends venant de la salle de bains le bruit de la douche qui coule. Écartant sans bruit le pare-douche, je me glisse derrière son occupante.

(à suivre)