A résidence chez ma Maîtresse,
Julie en sa lointaine retraite de Suède, je m’évertue de lui donner tout le
plaisir et le confort qui lui sied.
Aujourd’hui en rentrant du marché
elle se trouve toute excitée. En entrant dans la maison elle me tend ses pieds
et à genoux je la déchausse après les lui avoir embrassés. Puis elle se
précipite vers le téléphone avec une lettre à la main déjà décachetée. Je la
suis prudemment. Je la vois se précipiter en ligne et prudemment tout à ma
curiosité je me faufile sous la table pour lui lécher les pieds tout en tâchant
d’en savoir plus, mais bien entendu, c’est peine perdue.
Elle se baisse au bout d’un
moment en me regardant, pensive. Son visage s’illumine soudain et elle se met à
me gratter la tête. « Tu es curieux
mon gros chat me déclare t elle. Hé bien figure toi que nous allons avoir de la
visite et pas plus tard que demain. » L’air mystérieuse elle se lève
et me laisse là bouche bée avant de se diriger vers les chambres en chatonnant.
Je ne peux m’empêcher d’admirer le doux balancement de ses hanches, son allure
souple et sa silhouette élancée.
Le lendemain, ma Maîtresse s’absente
non sans m’avoir recommandé d’être bien sage, l’air toujours bien mystérieux
derrière son joli sourire d’ange, qui me fait fondre. Deux heures plus tard, j’entends
le moteur de sa Volvo qui vient se garer devant la maison. Mais que vois-je ?
Elle n’est pas seule… Surgissant du côté passager, quelle n’est as ma surprise
de voir surgir une jolie brune que je connais bien derrière ses lunettes de soleil…
Leyla, tout juste descendue de l’avion. « Voilà
donc la clé du mystère », me dis-je.
Mais je n’ai pas le temps de me
poser plus de questions. Comme à mon habitude alors que les deux femmes pénètrent
dans la maison, je fais la fête à ma Maîtresse, légèrement intimidé par la
présence de celle que j’ai si souvent soumise, ne sachant trop quelle
contenance adopter en sa présence. S’en apercevant, malicieuse comme elle est,
elle ne perd pas une si bonne occasion d’en tirer avantage et se met à jouer
des tours à sa façon. Pour commencer, elle se met à me tirer la langue et à me
faire des grimaces alors que ma Maîtresse tourne la tête.
Épuisés par tant d’émotions et après nous être restaurés, nous nous dirigeons vers la chambre. Ma Maîtresse et son invitée s’étant apprêtées pour se mettre au lit s’embrassent. A mon tour, je baise les pieds de celle à qui j’appartiens et rentre prestement dans mon sac de couchage prés d’Elle. Elle grimpe dans le lit s’appuyant sur mon dos, puis après une brève lecture, la lumière s’éteint.
Là au pied de ce lit, je me
tourne et me languit. Puis n’y tenant plus, ne parvenant à trouver le sommeil
et après avoir épié leurs respirations devenues paisibles, je me décide. Prenant
mon courage à deux mains, je me glisse discrètement sous les draps du côté de
Leyla, lui serrant la taille d’une main et posant l’autre sur sa bouche pour
lui en faire un bâillon. Celle-ci surprise, sursaute et tente de se dégager. « Après tout ce voyage impromptu
était-il une si bonne idée ? »
A mon tour de m’interroger. « Quelle va être sa réaction ? Va-t-elle
protester et réveiller ma Maîtresse ? Si jamais elle me trouve là dans son
lit elle risque d’être fort d’être fâchée et de me punir. » C’est son
amie après tout et je viens de violer une de ses règles. Il est quand même trop
tard pour faire machine arrière, d’autant que Leyla à présent sortie des limbes
du sommeil et la première stupeur passée, commence à regimber.
« Voudrais-tu que Julie t’entende je lui susurre dans le creux de
l’oreille ? » Je dois dire que la situation ne manque pas de
piquant et qu’elle m’excite au plus haut point. Leyla se calme et je commence à
faire glisser mon membre entre ses fesses offertes. Je pousse doucement, la
pénétrant avec délicatesse jusqu’à entrer en entier en elle. Geignant
doucement, elle se tend.
De ma main qui l’enserre, je sens
son cœur battre la chamade. J’effleure doucement un sein puis promène cette
main sur son triangle secret. Je le masse doucement en décrivant à sa surface
de petits cercles, puis faisant de mon majeur un crochet, je pénètre entre ses
lèvres intimes. La jolie catalane roule des yeux ronds et ouvre la bouche. Un
doigt y prend place.
Puis par de petits mouvements de
mes reins je commence de petits mouvements de va et vient en elle, ponctués de gémissements
feutrés. « La belle y prendrait-elle
goût ? » Ondulant des reins, j’imprime en elle mon mouvement. Son
odeur et la chaleur de ce corps et de sa Féminité sont enivrantes.
En un ultime aller-retour, je me
tends tout à coup et décharge en elle ma semence brulante et tout à ma jouissance,
n’y tenant plus, je la pousse en avant. Elle bouscule ma Maîtresse qui, sentant
son souffle chaud sur sa nuque, se tourne. Le souffle court, je me retire après
avoir essuyé ma queue sur les cheveux de Leyla. Je retourne alors à ma place, observe
un instant Leyla qui se lève pour aller à la salle de bain en se dandinant puis
sombre enfin dans les bras de Morphée.
J’émerge au matin alors que le
soleil est déjà haut dans le ciel et le lit déjà vide, le membre tendu. Sur la
pointe des pieds je me dirige au bout du couloir et vous observe vous activer dans
la cuisine, magnifique dans votre nudité, perchée sur vos mules rouge à hauts
talons. Mais alors que je l’appel de la vénération se fait pressant, j’étends
venant de la salle de bains le bruit de la douche qui coule. Écartant sans
bruit le pare-douche, je me glisse derrière son occupante.
(à suivre)
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