Me trouvant quelque peu désargenté en cette fin de mois, je décide de
répondre à l'annonce d'une jeune photographe
située sur Fontainebleau
et cherchant des modèles masculins nus qu'elle paie 100€ de l'heure :
Angela Sprang.
J'appelle et de sa voix charmante elle me donne rendez-vous pour le
lendemain. A l'heure convenue je me trouve devant une grande maison qui,
je le saurai plus tard, appartient à sa tante.
Angela
Sprang est une petite blonde cendrée à la moue mutine, toute menue, et
qui me reçoit en tee-shirt, short et claquettes. D'un sourire charmant
elle me serre la main et m'invite à pénétrer dans son studio :
anciennement grange du domaine, le local est spacieux, haut de plafond
et bénéficie d'une excellente luminosité. S'y trouvent répartis des
tapis de gymnastique et quelques meubles anciens dont un canapé
Chesterfield de cuir bordeaux. C'est dans celui-ci qu'elle m'invite à
prendre place tandis qu'elle s'affaire autour des trépieds supportant
ses appareils photos.
Je me déshabille et, nu avec une
fière érection que je flatte de la main, je m'installe ainsi qu'elle me
le spécifie. Elle me photographie sous toutes les coutures et dans
diverse poses, non sans m'avoir flatté sur mon appareil génital dont les
dimensions et l'esthétique la séduisent manifestement. Je bande de plus
en plus et tâche de me refréner car, après tout, je ne suis pas venu
pour ça, mais la vue de ces petits seins manifestement libres sous le
tee-shirt, qui dansent au gré des changements d'angles de la preneuse de
vues, m'excite au plus haut point.
Mais voilà, la séance est finie, il ne me reste plus qu'à me faire
payer, me rhabiller et partir. C'est là que les choses prennent une
tournure inattendue.
"
Ah mais je ne paie jamais mes modèles" me dit-elle en éclatant de rire "
ils ne peuvent pas aller se plaindre dans la mesure où je détiens désormais des photos d'eux tout nus! " Et, une lueur perverse dans le regard, elle ajoute en me regardant bien dans les yeux "
C'est peut-être même toi qui va me donner 100€ pour ne pas que je les diffuse!"
Sans me démonter je lui souris et lui rétorque "
Angela
Sprang, tu es une menteuse malhonnête doublée d'une effrontée, et à ce
titre tu mérites doublement la punition que je vais t'infliger"
Et sans attendre je saisis son tee-shirt par le bas et le lui relève sur la tête, exposant son torse.
Pendant
qu'elle bataille pour l'ôter de sur sa figure je l'empoigne
à-bras-le-corps et l'emporte. Au moment précis où elle parvient à se
débarrasser du vêtement je la jette à plat dos sur le canapé où j'ai
posé voici quelques minutes et sans autre forme de procès m'assois sur
sa figure, emprisonnant ses bras sous mes tibias!
Elle
pousse un hurlement étouffé par mon cul et se met à tricoter
furieusement des jambes, envoyant promener ses claquettes. Je me penche
et lui baisse son short et sa culotte sur les chevilles où je les
entortille. Voilà, elle ne peut plus bouger, la petite insolente!
Un moment je joue avec ces seins qui m'ont tant excité pendant le séance
photo. Qu'est-ce que je bande! Il faut dire qu'ils sont bien mignons et
durs, et sentir leur propriétaire la face sous mes fesses m'excite
encore plus. Je décide de l'humilier un cran supplémentaire : me
penchant je me mets à lui caresser la chatte et lui disant "
Tu vas jouir en sentant mon cul, comme ça tu auras encore plus honte".
Elle
résiste au début, mais je persévère, alternant massages et
introductions, et la sens se détendre malgré elle. Avisant une petite
télécommande sur le guéridon jouxtant notre couche, je m'en saisis et
déclenche à distance l'appareil-photo qui immortalise la scène, et
plutôt dix fois qu'une! Je me positionne bien l'anus sur son nez pour
qu'elle soit obligé de respirer bien dedans, je sens ses inspirations
s’accélérer et finalement elle inonde ma main en un premier orgasme.
Je
dis bien premier,
car les femmes ont coutume de considérer comme
supériorité sur les hommes de pouvoir en avoir plusieurs à la file,
quand nous, pauvres mâles, n'en pouvons avoir qu'un seul ; or je vais
retourner cette libéralité contre Mlle Sprang, en la faisant jouir par
force plusieurs fois au cours d'humiliations différentes.
Saisissant
un câble de connexion le lui en lie les poignets, puis me lève et
essuie ma main branleuse sur sa figure. Elle grimace. Riant et bandant
je la prend sous les aisselles et la dépose sur un tapis rembourré,
toujours sur le dos. Je m'assois sur les fesses à coté d'elle, lui mets
mes pieds sur la figure et recommence à lui branler la chatte en lui
expliquant "
Cette fois tu vas jouir en sentant mes pieds!"
Elle tourne la tête en tous sens en protestant mais je la lui serre
entre mes plantes de pieds et l'oblige à les sentir et à les lécher. Je
les essuie bien sur son visage d'ange, la force à sucer mes orteils tout
en la masturbant d'une façon experte que j'ai appris avec les
nombreuses autres femmes fières que j'ai dressées.
De
l'autre main j'introduis également un doigt dans son cul. Elle proteste,
alors je suspends mes caresses vaginales : aussitôt elle me supplie
de les reprendre! Je lui remets les pieds sur la figure, elle les
couvre de baisers implorants, alors je recommence à lui branler la
chatte tout en mettant un deuxième doigt dans son cul : elle se garde
bien de piper mot! Je ne l'en retire que pour manipuler à nouveau la
télécommande de l'appareil photo, qui permet de diriger également son
orientation!
Deuxième orgasme! Lui aussi photographié
bien entendu. Je me penche et la regarde dans les yeux : elle a le
regard chaviré! Elle a bien disparue, la jeune fille arrogante de tout à
l'heure. J'essuie ma main dans ses cheveux, la met sur le flanc et
vient me coller à elle, moi aussi sur le côté. Je remets ma main sur sa
chatte et appuie en massant, ma bite dure poussant contre son anus de
l'autre côté. Elle veut crier : j'attrape mes sous-vêtements qui gisent
par terre et lui enfonce mes chaussettes dans la bouche. Je la
photographie ainsi, puis pour faire bonne mesure lui enfiles mon boxer
sur la tête, le devant qui sent bien ma queue sur son joli petit nez!
Mais
revenons aux choses sérieuses : le formatage anal d'Angela. Je sais que
se prendre une bite de 5cm de diamètre et 19 de long dans le rectum a
de quoi perturber les plus délurées, mais après tout les autres - Anya,
Carole, Hélène, Julie, Leyla, Sarah, Véro - y sont passées, et plus
d'une fois, alors aucune raison que Mlle Sprang y échappe.
Tout
en le masturbant adroitement
je rentre en douceur ma grosse queue dans
son petit cul. Elle geint à travers mes chaussettes et mon boxer sales
mais je continue tout en la caressant. Enfin j'y suis jusqu'aux couilles
et peux commencer à la limer. Je rentre trois doigts dans sa chatte et
sens, à travers ses entrailles, ma bite dans son corps. Quel sentiment
de possession est le mien, et d'appartenance doit être le sien -- si
elle pouvait parler! La branlant sans répit je l'oblige à jouir une
troisième fois et quand elle est secouée par son orgasme je décharge moi
aussi dans son cul.
"
Quelle honte, tu as joui en étant enculée et en sentant ma queue"
je lui murmure à l'oreille pour l'achever. Puis je me retire d'elle,
essuie ma main sur ses petits seins, récupère mes sous-vêtements et
entreprend de me rhabiller. Toujours attachée elle me regarde d'un air
incertain. Une fois vêtu je me lève et vais confisquer la carte-mémoire
de l'appareil photo. Puis je prends son sac à main et reviens vers elle.
Elle est nue et impuissante, sur le dos. Je retourne son sac et lui en
vide le contenu dessus.
"
Salaud!" siffle t-elle, venimeuse.
"-
Un peu de correction, mademoiselle" dis-je en m'agenouillant et en triant. "
Tout d'abord tu me dois 100€" et ouvrant son porte-monnaie je les prends dedans "
par ailleurs, je t'ai procuré trois orgasmes, et tout salaire méritant peine, à 50€ chacun ça te fait 150 de plus" et je m'approprie les billets correspondants
"
-
NON" crie t-elle
"
-
Oh que si!" fais-je en riant, "
et ce n'est pas tout :
j'ai maintenant une bonne trentaine de photos de toi humiliée. Si tu
ne veux pas les retrouver partout sur le Net tu viendras chez moi tous
les mois me sucer et te faire enculer, et me donnera chaque fois 100€
pour avoir eu l'honneur de t'occuper de ma queue"
Et
sur ces bonnes paroles je lui détache les poignets et tandis qu'elle se
dégage les chevilles et son short et sa culotte entortillés, je quitte
prestement les lieux!