samedi 30 juillet 2016

Une très chaude soirée d’été 1 : Dans les jardins secrets

Un soir alors que je traînais près de la maison où réside Angela la photographe très délurée. Je la surprends dans son jardin en train de suspendre du linge dans une robe légère et fleurie.  Mais surtout qu’elle n’est pas ma surprise de constater que dans l’air du soir, à la douce chaleur des rayons du soleil couchant, la belle se trémousse tout en fredonnant un air gai et entraînant. Un zéphyr léger soulève l’étoffe, tandis que le soleil coquin dessine en ombres chinoises son corps de nymphe, et sa peau nue. Elle sautille.

Elle étend son linge, fermant à demi les yeux sous la caresse, les sens grisés par les senteurs florales du jardin. Imaginant quelque satyre cornu et ses dryades, l’entraînant dans une sarabande endiablée. Elle se penche avec grâce et continue sa tâche. Les frôlements des étoffes font durcir un téton. Elle soupire d’aise. Mais qu’est-ce donc ? Une goutte salée, franchit son puit de vie. Elle sourit et malicieuse rejette sa chevelure d’un balancement de tête, tout en se déhanchant.

Au loin, entre les buis, je ne la quitte pas des yeux. M’approchant subrepticement pour n’en rien manquer, je me glisse de proche en proche. M’arrêtant à temps pour ne point être découvert. Je retiens mon souffle alors qu’elle tourne la tête. M’a-t-elle vu ? Non, car semble-t-il elle a repris son ouvrage. Il ne s’agirait pas que la gazelle aux pieds nus s’enfuie hors d’atteinte. En mon fort intérieur, j’entends déjà son rire cristallin et moqueur. Mais non, je chasse cette pensée défaitiste et me concentre. Je me baisse et me glisse par derrière jusqu’à elle, sans un bruit.
Ses petits pieds mignons ne sont qu’à quelques pas. Ces mêmes petits pieds si Féminins, manucurés avec soin, combien de mâles ont bien pu adorer ses extrémités ? Elle tourne et virevolte soudain dansant avec le vent, son complice, qui soulève cette robe et dévoile un instant ses fesses bien rondes et le creux de ses reins. Toute à sa joie de vivre, elle danse et fait la folle dans ce jardin secret à l’abri des regards indiscrets, témoin muet de sa beauté. Seul, observateur attentif et indélicat, je m’avance derrière elle comme une ombre. Troublé et excité, je m’apprête à bondir tel un fauve.

En un ultime mouvement, je me débarrasse de mon jean et de mon tee-shirt trop moites de sueur, les laissant en tas derrière moi. Puis nu, je me dresse derrière Elle. Aidé par un souffle léger. Je me colle par derrière en lui serrant les seins sous la robe. L’instant est émouvant et mon membre dressé, pressé contre ses fesses relevées. Rompant la magie de l’instant, je la pousse en avant. Elle tombe sur les genoux le visage dans le panier de linge humide, le souffle court. Surprise elle reste coite serrant les poings, les coudes et les genoux dans un réflexe inné de défense.


lundi 18 juillet 2016

Mes tarifs

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Du nouveau sous les cieux

Il y a du nouveau sous les cieux puisque Julie Couronne n'est plus ma Maîtresse.



Après quelques semaines d'errance,  Véronika Forget a pris le relais.

C'est donc à elle que j'adresse ce respectueux baise-pieds.

                                    SUR ORDRE DE MA BELLE MAITRESSE 

                                                      VERONIKA FORGET 

                            MOI CHIENNE NADO J OBEIT A MA MAITRESSE 







mardi 5 juillet 2016

Une photographe très délurée mérite la fessée

Me trouvant quelque peu désargenté en cette fin de mois, je décide de répondre à l'annonce d'une jeune photographe
située sur Fontainebleau et cherchant des modèles masculins nus qu'elle paie 100€ de l'heure : Angela Sprang. J'appelle et de sa voix charmante elle me donne rendez-vous pour le lendemain. A l'heure convenue je me trouve devant une grande maison qui, je le saurai plus tard, appartient à sa tante.

 Angela Sprang est une petite blonde cendrée à la moue mutine, toute menue, et qui me reçoit en tee-shirt, short et claquettes. D'un sourire charmant elle me serre la main et m'invite à pénétrer dans son studio : anciennement grange du domaine, le local est spacieux, haut de plafond et bénéficie d'une excellente luminosité. S'y trouvent répartis des tapis de gymnastique et quelques meubles anciens dont un canapé Chesterfield de cuir bordeaux. C'est dans celui-ci qu'elle m'invite à prendre place tandis qu'elle s'affaire autour des trépieds supportant ses appareils photos.

 Je me déshabille et, nu avec une fière érection que je flatte de la main, je m'installe ainsi qu'elle me le spécifie. Elle me photographie sous toutes les coutures et dans diverse poses, non sans m'avoir flatté sur mon appareil génital dont les dimensions et l'esthétique la séduisent manifestement. Je bande de plus en plus et tâche de me refréner car, après tout, je ne suis pas venu pour ça, mais la vue de ces petits seins manifestement libres sous le tee-shirt, qui dansent au gré des changements d'angles de la preneuse de vues, m'excite au plus haut point. Mais voilà, la séance est finie, il ne me reste plus qu'à me faire payer, me rhabiller et partir. C'est là que les choses prennent une tournure inattendue.

"Ah mais je ne paie jamais mes modèles" me dit-elle en éclatant de rire "ils ne peuvent pas aller se plaindre dans la mesure où je détiens désormais des photos d'eux tout nus! " Et, une lueur perverse dans le regard, elle ajoute en me regardant bien dans les yeux "C'est peut-être même toi qui va me donner 100€ pour ne pas que je les diffuse!"

Sans me démonter je lui souris et lui rétorque "Angela Sprang, tu es une menteuse malhonnête doublée d'une effrontée, et à ce titre tu mérites doublement la punition que je vais t'infliger"
Et sans attendre je saisis son tee-shirt par le bas et le lui relève sur la tête, exposant son torse.

 Pendant qu'elle bataille pour l'ôter de sur sa figure je l'empoigne à-bras-le-corps et l'emporte. Au moment précis où elle parvient à se débarrasser du vêtement je la jette à plat dos sur le canapé où j'ai posé voici quelques minutes et sans autre forme de procès m'assois sur sa figure, emprisonnant ses bras sous mes tibias!

 Elle pousse un hurlement étouffé par mon cul et se met à tricoter furieusement des jambes, envoyant promener ses claquettes. Je me penche et lui baisse son short et sa culotte sur les chevilles où je les entortille. Voilà, elle ne peut plus bouger, la petite insolente! Un moment je joue avec ces seins qui m'ont tant excité pendant le séance photo. Qu'est-ce que je bande! Il faut dire qu'ils sont bien mignons et durs, et sentir leur propriétaire la face sous mes fesses m'excite encore plus. Je décide de l'humilier un cran supplémentaire : me penchant je me mets à lui caresser la chatte et lui disant "Tu vas jouir en sentant mon cul, comme ça tu auras encore plus honte".

 Elle résiste au début, mais je persévère, alternant massages et introductions, et la sens se détendre malgré elle. Avisant une petite télécommande sur le guéridon jouxtant notre couche, je m'en saisis et déclenche à distance l'appareil-photo qui immortalise la scène, et plutôt dix fois qu'une! Je me positionne bien l'anus sur son nez pour qu'elle soit obligé de respirer bien dedans, je sens ses inspirations s’accélérer et finalement elle inonde ma main en un premier orgasme.

 Je dis bien premier,
car les femmes ont coutume de considérer comme supériorité sur les hommes de pouvoir en avoir plusieurs à la file, quand nous, pauvres mâles, n'en pouvons avoir qu'un seul ; or je vais retourner cette libéralité contre Mlle Sprang, en la faisant jouir par force plusieurs fois au cours d'humiliations différentes.

 Saisissant un câble de connexion le lui en lie les poignets, puis me lève et essuie ma main branleuse sur sa figure. Elle grimace. Riant et bandant je la prend sous les aisselles et la dépose sur un tapis rembourré, toujours sur le dos. Je m'assois sur les fesses à coté d'elle, lui mets mes pieds sur la figure et recommence à lui branler la chatte en lui expliquant "Cette fois tu vas jouir en sentant mes pieds!" Elle tourne la tête en tous sens en protestant mais je la lui serre entre mes plantes de pieds et l'oblige à les sentir et à les lécher. Je les essuie bien sur son visage d'ange, la force à sucer mes orteils tout en la masturbant d'une façon experte que j'ai appris avec les nombreuses autres femmes fières que j'ai dressées.

De l'autre main j'introduis également un doigt dans son cul. Elle proteste, alors je suspends mes caresses vaginales : aussitôt elle me supplie de les reprendre! Je lui remets les pieds sur la figure, elle les couvre de baisers implorants, alors je recommence à lui branler la chatte tout en mettant un deuxième doigt dans son cul : elle se garde bien de piper mot! Je ne l'en retire que pour manipuler à nouveau la télécommande de l'appareil photo, qui permet de diriger également son orientation!

Deuxième orgasme! Lui aussi photographié bien entendu. Je me penche et la regarde dans les yeux : elle a le regard chaviré! Elle a bien disparue, la jeune fille arrogante de tout à l'heure. J'essuie ma main dans ses cheveux, la met sur le flanc et vient me coller à elle, moi aussi sur le côté. Je remets ma main sur sa chatte et appuie en massant, ma bite dure poussant contre son anus de l'autre côté. Elle veut crier : j'attrape mes sous-vêtements qui gisent par terre et lui enfonce mes chaussettes dans la bouche. Je la photographie ainsi, puis pour faire bonne mesure lui enfiles mon boxer sur la tête, le devant qui sent bien ma queue sur son joli petit nez!

Mais revenons aux choses sérieuses : le formatage anal d'Angela. Je sais que se prendre une bite de 5cm de diamètre et 19 de long dans le rectum a de quoi perturber les plus délurées, mais après tout les autres - Anya, Carole, Hélène, Julie, Leyla, Sarah, Véro - y sont passées, et plus d'une fois, alors aucune raison que Mlle Sprang y échappe.

 Tout en le masturbant adroitement
je rentre en douceur ma grosse queue dans son petit cul. Elle geint à travers mes chaussettes et mon boxer sales mais je continue tout en la caressant. Enfin j'y suis jusqu'aux couilles et peux commencer à la limer. Je rentre trois doigts dans sa chatte et sens, à travers ses entrailles, ma bite dans son corps. Quel sentiment de possession est le mien, et d'appartenance doit être le sien -- si elle pouvait parler! La branlant sans répit je l'oblige à jouir une troisième fois et quand elle est secouée par son orgasme je décharge moi aussi dans son cul.

 "Quelle honte, tu as joui en étant enculée et en sentant ma queue" je lui murmure à l'oreille pour l'achever. Puis je me retire d'elle, essuie ma main sur ses petits seins, récupère mes sous-vêtements et entreprend de me rhabiller. Toujours attachée elle me regarde d'un air incertain. Une fois vêtu je me lève et vais confisquer la carte-mémoire de l'appareil photo. Puis je prends son sac à main et reviens vers elle. Elle est nue et impuissante, sur le dos. Je retourne son sac et lui en vide le contenu dessus.

"Salaud!" siffle t-elle, venimeuse.
"- Un peu de correction, mademoiselle" dis-je en m'agenouillant et en triant. "Tout d'abord tu me dois 100€" et ouvrant son porte-monnaie je les prends dedans "par ailleurs, je t'ai procuré trois orgasmes, et tout salaire méritant peine, à 50€ chacun ça te fait 150 de plus" et je m'approprie les billets correspondants "
-NON" crie t-elle "
-Oh que si!" fais-je en riant, "et ce n'est pas tout : j'ai maintenant une bonne trentaine de photos de toi humiliée. Si tu ne veux pas les retrouver partout sur le Net tu viendras chez moi tous les mois me sucer et te faire enculer, et me donnera chaque fois 100€ pour avoir eu l'honneur de t'occuper de ma queue"

Et sur ces bonnes paroles je lui détache les poignets et tandis qu'elle se dégage les chevilles et son short et sa culotte entortillés, je quitte prestement les lieux!