dimanche 30 juin 2013

Twist in my sobriety


Twist in my sobriety brought to you by PornHub

vendredi 28 juin 2013

Couette-Couette (Stéphanie)


No ordinary love by Stéphanie a.k.a. Couette-Couette!


Smooth operator by Stéphanie a.k.a. Couette-Couette!

mercredi 26 juin 2013

Tandoku-Renshu 2

Marc est tellement occupée à humilier les deux judokates déchues qu'il sursaute et manque se faire mordre la pénis lorsqu'un éclat de rire cristallin retentit sous la haute voûte du gymnase. Un, ou plutôt deux éclats de rire, puisque ce sont Leyla et moi, sa maîtresse Julie, qui viennent d'approcher silencieusement sur nos pieds nus.

Désignant les trois pantalons jetés au sol je m'enquiers "Est-ce là la façon angevine de pratiquer le judo?"

Marc délivre Sarah de son baîllon phallique pour qu'elle puisse me répondre, ce qu'elle fait avec son insolence coutumière "Vous n'avez qu'à essayer, vous verrez bien!"

"Pourquoi pas?" me dit Leyla après quelques secondes de réflexion. Je me tourne vers elle et nous échangeons un tendre regard de complicité avant que nos lèvres s'unissent.


 Très excité par ce spectacle, Marc échange ses soumises : c'est désormais Fadila qui a sa bite dans la bouche et Sarah la figure fourrée dans son cul. Leyla et moi retirons nos pantalons et les envoyons rejoindre les trois traînant au sol, puis nous avançons vers le milieu du tatami. Là sans prévenir j'empoigne mon amante, la fait choir et sans attendre m'assois sur sa figure!

Marc m'applaudit et je défais ma ceinture afin de lier les poignets de la vaincue.

"Je suppose que tu avais l'intention d'enculer ces deux-là?" lui dis-je en désignant ses deux prisonnières.

- '"Euh... oui Maîtresse" avoue t-il

- "Eh bien jamais deux sans trois, tu pourras également te faire celle-ci" fais-je en désignant la captive de mon vagin.

 A ces mots Leyla se met à protester énergiquement! Je me lève, me retourne et assois mon voluptueux fessier sur son visage! La voila réduite au mutisme par mon cul, et dans le mouvement ma veste de kimono, que plus rien ne retient, glisse de mes épaules et expose ma poitrine magnifique,  sans conteste la plus belle des quatre. Voyant les yeux exorbités de mon soumis sodomite je lui dis "Tu devrais te retirer de cette bouche goulue si tu ne veux pas jouir prématurément!"

(à suivre)

Tandoku-Renshu

Dans une salle du gymnase de Belle-Beille, Sarah et moi nous entraînons au judo. C'est un entrainement un peu particulier car nous ne portons que le haut de la tenue traditionnelle. A chaque prise, la gagnante s'assoit sur la figure de la perdante, et cette dernière doit lécher la chatte quelques secondes, en gage de défaite, avant d'être libérée.




Soudain nous nous apercevons que nous avons un spectateur: Marc. Distraite par son apparition, je me fais avoir et me retrouve à plat ventre, les bras retenus dans le dos et Sarah assise sur mes reins. Elle met ses pieds de chaque coté de ma figure et je dois les lui embrasser. Son haut de kimono baille sous la ceinture et dévoile sa chatte.





Quand elle me lâche et que nous nous remettons debout, nous nous apercevons que le pantalon d enotre spectateur est bien gonflé par devant! A l'unisson nous éclatons de rire avant de lui dire "Mets-toi comme nous, tu seras plus à l'aise!"
- "Si je le fais je pourrais m'entraîner avec vous?" demande t-il; "Bien sûr" lui dit Sarah "tiens, viens remplacer Fadi"

Je me retire du tatami pour les laisser s'affronter. Le temps que je me sois retournée Marc  a renversé Sarah et lui a mis ses couilles sur la figure. Mais je le vois enlever sa ceinture et lui attacher les poignets! Aussitôt je m'approche en disant "Non, ça c'est interdit!"

Comme il me regarde d'un air goguenard je me baisse pour détacher Sarah. Sur-le-champ il m'attrape par la taille, me fait tomber, me grimpe dessus et me ramène les bras dans le dos. "C'est pas réglementaire" je piaule, mais il se contente de retirer la ceinture de Sarah, qui ne peut plus bouger, pour me lier les poignets. Puis il se relève en riant.

"Détaches-nous" crie Sarah. Mais il se contente de me mettre sur le dos, puis d'écrater les pans de nos kimonos pour exposer nos nichons. "Vous allez me sucer toutes les deux" dit-il en montrant sa queue énorme qui pointe entre les pans de sa veste, "puis je vais vous enculer l'une après l'autre"

Il nous attrape par les seins pour nous faire mettre à genoux, face à face. Puis il se glisse entre nous, met sa queue dans la bouche de Sarah et avec ma ceinture la passe derrière ma nuque et tire en avant. Je me retrouve la figure dans ses fesses et il me dit "Lèche Fadila, après je vous intervertirai!"

(à suivre)

samedi 22 juin 2013

Au sauna avec Maîtresse Julie 2 : une douce revanche...


Arrivée près du ban vous prenez possession du siège en vous retournant avec toute la grâce d’une reine. Arrivé près de vous, je m’installe à genoux entre vos cuisses que vous venez d’écarter, posant vos pieds de chaque côté du ban, en me présentant vos cuisses et dévoilant votre fruit si juteux. Immédiatement, j’enfouis mon visage dans ce paradis et active ma langue, écartant les lèvres intimes de mes doigts, hume et passe ma langue le long des muqueuses délicates.

Prenant mes mains, vous les posez sur vos seins. Je prélève délicatement chaque goute de jouissance émissaire de votre plaisir qui ne tarde pas à s’annoncer. A cet instant vous vous cambrez en frémissant tandis que je tâche d’aspirer chaque goutte s’échappant de votre puits de vie. Puis se relevant, Maîtresse remarque ma queue pleine de désir. Tandis que je me recule, le visage plein de se sécrétions intimes, elle se tourne vers l’assistance et interpelle : « voyez comme il est vigoureux les filles. Qui veut en profiter ? Est-ce que l’une d’entre vous est intéressée ? »

A ces mots, plusieurs voix se font entendre dans un concert de gloussements et de cris « moi, moi » entend-on ici et là. Je lève le visage et vous regarde légèrement troublé. D’un clin d’œil et d’une caresse vous me rassurez. Puis vous ajoutez, « celle qui voudra baiser mon esclave devra me baiser les pieds. » Un instant d’hésitation se fait dans l’auditoire. J’en profite pour me cacher derrière l’ombre protectrice des jambes de ma Maîtresse.

Enfin, une petite blonde dodue s’enhardi et se détache de ses consœurs et s’approche résolument. Je l’observe et lève un visage interrogateur. Mais ma Maîtresse regarde l’inconnue qui s’agenouille à ses pieds et les baise délicatement en s’abaissant avec grâce, levant les fesses bien hautes, offertes. « Quel joli petit cul » je me dis en me passant une langue avide sur les lèvres. Maîtresse baisse la tête vers moi et me la désigne du menton en me faisant un clin d’œil complice. « Si tu veux prendre ta revanche surtout n’hésites pas » me dit-elle joueuse et rieuse en insistant sur ces derniers mots.

Je contourne les jambes de ma Maîtresse, toujours à quatre pattes et me positionne derrière cette croupe alléchante. Je pose mes mains sur ses hanches commence à lui lécher la colonne vertébrale jusqu’aux omoplates. La fille frissonne surprise et ronronne de plaisir. Ma queue tendue effleure ses fesses tandis que Julie se penche pour soupeser un de ses seins ajoutant un « pas mal » d’un air de connaisseuse.

D’une main, je commence à caresser la chatte de la belle inconnue tout en levant les yeux pour guetter d’en bas l’assentiment de ma Maîtresse. Vous me souriez et me faites un clin d’œil complice. La fille tend se fesses en arrière pour m’offrir sa chatte toute grande ouverte. Ma queue effleure ses fesses et je vous adresse un baiser aérien. Positionnant ma queue en m’aidant de la main, je commence à pousser doucement contre son anus.

« Pas par-là » fait-elle faiblement. Vous vous baissez pour me la maintenir en place et me tendez les lèvres. Ma main continue à lui caresser doucement la chatte et à écarter les grandes lèvres. Relevant la tête je vous rends votre baiser. Ma main libre se pose sur votre poitrine. Les rires se taisent tandis que la jolie blonde continue de se faire envahir son joli petit cul.

Ses petits cris de douleur sont bientôt mêlés de plaisir. Je la pénètre cm par cm, tout en la caressant de la main. Son odeur et nos transpirations mêlées sont entêtantes. Poussant par à coup de mes reins, je la pénètre petit à petit jusqu’à la posséder complètement. Du coin de l’œil je vous vois la contourner et poser votre chatte contre sa bouche pour la museler. « Quel divin bâillon tout de même ! »tandis que votre opulente poitrine occupe à présent mon champs de vision et mes pensées.

Tout à mes mouvements de va et vient entre les fesses de notre jolie volontaire, je tente de saisir un téton entre mes lèvres. A cet instant je me tends et décharge ma semence brulante dans son cul offert. Elle geint légèrement. Me retirant à cet instant, je lève des yeux éperdus et pétillant vers ma Maîtresse qui me caressant la joue et m’ordonne souriante : « Tu as bien joué mon  chéri ? Allons essuies toi la queue. » Quittant cette étreinte, je me lève alors sur mes jambes flageolantes et obtempère sur les cheveux de mon « amante » sidérée.

Puis je rejoins ma Maîtresse et c’est à son bras que je quitte ce lieu où j’aperçois ici et là des mains légères caressantes et s’attardant sur des triangles secrets. Je tourne le visage vers ma Maîtresse qui me sourit. Reprenant nos serviettes à l’entrée du « gynécée, » nous nous séparons alors à regret pour rejoindre nos vestiaires respectifs. « Vraiment quelle chance est la mienne ! »

(à suivre)

vendredi 21 juin 2013

Au sauna avec Maîtresse Julie 1


Nous sommes le vendredi et Leyla, la fière princesse Wisigothe, après une semaine endiablée nous a quittés pour s’en retourner dans sa Barcelone adorée. Les adieux furent éperdus et ma Maîtresse et son amie ne se quittèrent qu’après la promesse de se revoir très bientôt en son séjour, au septentrion. J’avoue m’être laissé gagner par l’émotion du moment, même si je tâche de le cacher de mon mieux. Mais je devine que ma Maîtresse n’est pas dupe et que ses yeux clairs m’ont depuis longtemps percé à jour. Après tout, n’est pas là un privilège de la Féminité ? Je ne l’en aime que plus.

Mais ma Maîtresse a bien des idées en réserve et en ce début d’après-midi, sur le chemin du retour de l’aéroport, en passant au centre-ville de Göteborg, la voilà qui s’arrête, se gare et me charge d’aller faire quelques menus achats avant d’aller la retrouver au sauna. Je me hâte, sachant qu’elle n’aime pas attendre. Il fait beau ce jour et tout en marchant dans les rues de sa ville, je ne puis m’empêcher de laisser mon esprit baguenauder, tout en admirant les passantes, leurs sourires enjoués dans leurs atours printaniers et chamarés.

Arrivé là, je me dirige vers les vestiaires pour revêtir la tenue de rigueur, à savoir une simple serviette nouée autour de la taille. Après une petite hésitation, un peut à contrecœur je me dirige vers la partie réservée aux hommes puis m’assois seul dans un coin au milieu de autres. La salle de sudation porte bien son nom, car je suis rapidement en sueur, mais que ça fait du bien !

Soudain, je l’aperçois au travers des brumes qui se tient sur le pas de la porte, une serviette nouée sous les aisselles et couvrant à peine sa chatte Divine à la vue de tous. Elle me cherche du regard, se penche et avant que j’esquisse un mouvement, se dirige hardiment vers moi et claquant des doigts, pointe un index impérieux vers ses pieds. Les autres hommes sont stupéfaits et, pour certains amusés. Aussi je me hâte sous leurs murmures à peine voilés de me diriger vers celle à qui j’appartiens.

La serviette masque à peine mon érection naissante et mon trouble s’accentue alors que je regarde le doux balancement de ses hanches. Je la rejoins et la suis avec peine alors qu’elle traverse l’établissement pour se diriger vers la partie réservée au beau sexe. « Je vais te montrer aux autres » me dit-elle guillerette, me gratifiant d’un de ses sourires tellement désarmants qui me transpercent et tissent autour de moi les fils de ma servitude.



Nous pénétrons dans la partie réservée aux Dames. Là je freine brusquement, n’osant trop dépasser l’entrée, restant sur ma réserve. Soudainement intimidé par tous ces regards qui se tournent vers nous, craignant les remarques que j’imagine hostiles, je m’adosse à un mur. Mais à cet instant et sûre de son effet, Maîtresse m’ôte en me faisant face, fait voler ma serviette et m’entraîne au centre de ce gynécée. C’est ainsi, que je pénètre à sa remorque sur cette scène improvisée. Elle se met alors à déclamer à cet instant « chères amies comme je vous l’avais annoncé, je vous présente ma dernière prise. » Des exclamations ponctuent cette entrée pour le moins théâtrale, dont je suis malgré moi l’acteur.

Mon membre, fort de ce traitement s’est entre temps bien ragaillardie, ce qui permet à Maîtresse d’ajouter fièrement une « regardez-moi ça mes chéries ! » alors que de mon côté je rougi. Aillant tenté de cacher l’objet de toutes les attentions Maitresse me rabroue, avant de se détendre et de continuer. Vous me toisez même l’air suffisant en me mettant au défi de dire combien de fois j’ai pu vous la mettre dans le cul. Devant sa superbe, je baisse alors les yeux et capitule, vaincu par notre dialogue silencieux, alors que les murs. Notre auditoire s’enhardi. Certaines de ces dames rient, d’autres commencent à me toucher.

S’éclaircissant la gorge, ma Maîtresse poursuit « mais ce n’est pas tout, car voyez-vous, il m’est tellement soumis qu’il peut même deviner mes désirs », puis après un silence et mes regards éperdus « d’ailleurs voyez vous-même ». Et joignant le geste à la parole, elle se tourne, exposant ses fesses aux formes rebondies que ne voilent plus la serviette. A cet instant, sans me faire prier et, je l’avoue un peu pour échapper à tous ces regards, à ces rires je me précipite, m’agenouille et enfouis ma tête dans son séant sous des acclamations tirant dans les aigus. Sans doute ne l’ai-je encore jamais fait aussi rapidement.



Un sourire de triomphe illumine son visage d’ange, tandis que les fou-rires lacèrent mes tympans. J’enfouis ma tête dans cette vallée profonde et darde en son centre une langue agile. Je pose mes mains sur fesses et lèche son anus devant un parterre de femmes, de parfaites étrangères, toutes dans leur plus simple appareil. L’une d’elles s’enhardi et effleure mon ans du doigt. Aussitôt, je me dandine derrière vous et tente d’échapper à cette main inquisitrice. A cet instant vous vous retournez afin de découvrir de quoi il retourne et à cet instant vous éclatez d’un grand éclat de rire en découvrant la scène qui s’offre à vos yeux.

Surpris, je me retrouve face à votre chatte et me hâte de m’enfouir dans le doux refuge de votre chatte qui me fait face. Vous me repoussez doucement, et en vous déhanchant avancez un de vos pieds mignons. Surpris, je me ressaisi et me jette à vos pieds sous les sifflets et les rires extatiques du public. A terre, je dépose mille petits baisers délicats sur ce pied amoureusement manucuré. Puis retirant son pied elle me tend son jumeau que je me dépêche de lécher à son tour.



Ce geste me vaut une nouvelle remarque de sa part « voyez comment il m’est soumis. » Sur ces mots elle se penche et m’introduit un doigt dans le cul sous les applaudissements. Sans y prendre garde, je poursuis ma vénération. Sentant votre main, je relève les fesses pour en faciliter l’accès. « Et il est à moi » ajoute-t-elle. « A vous Maîtresse » je réponds dans un souffle entre deux coups de langue.

« Je suis contente de toi mon soumis. » C’est l’instant que vous choisissez pour vous relever et aller vous assoir sur un banc. Vous écartez les jambes. Tournant la tête pour suivre votre mouvement, j’ajoute une « merci Maîtresse » plein de dévotion et à demi couvert par les commentaires grivois. Mais je n’en ai cure et suit à quatre pattes, sans plus y réfléchir ma Déesse.



Les autres femmes s’écartent doucement et je parcours une forêt de jambes galbées sous des regards hautains des rires et des mains baladeuses. La chaleur et les odeurs de transpirations m’assaillent les narines subitement alors que je m’installe sur les genoux entre vos jambes écartées. Ma langue se remet à l’ouvrage alors que vous me caressez la nuque en arquant vos reins sous l’effet de la montée de votre plaisir.

(à suivre)

dimanche 9 juin 2013

Une invitée surprise 3 : le piquenique..



Par cette belle journée de printemps scandinave, nous décidons suite à tous ces évènements de partir profiter du beau temps pour aller faire un piquenique au bord du lac. Houspillé par les deux femmes, me voilà donc contraint de me hâter, au point que je manque sortir avec les paniers sous le bras entièrement nu vers la voiture garée dans l’allée.

Rappelé in extrémis, je rentre avant que nul voisin n’ait pu me surprendre dans mon plus simple appareil. Toutes deux, devant mon air déconfit, prennent une crise de fou-rire qui ne cessa qu’après de longues minutes. Ma Maîtresse m’envoya alors à la salle de bain afin que je puisse me rendre présentable. Je me hâtais alors, une pluie de rires féminins et de commentaires grivois.

Une petite demi-heure plus tard, nous voilà tous fin-prêts et embarquons enfin dans la Volvo que ce cher Lehnard a complaisamment laissée à sa jeune épouse avant de partir en voyage. Nous roulons une petite heure sur cette petite route de campagne en bordure de ces forêts boréales que nous quittons incidemment pour rejoindre un petit chemin de terre. Julie conduit d’une main très sûre assise à l’avant avec son amie.


Durant le trajet, les deux filles papotent, rient, parlant de tout et de rien alors qu’au loin le soleil se prépare à rejoindre son apogée. De temps à autres, je sens se porter sur moi le regard de ma Maîtresse dans le rétroviseur, ainsi  que son sourire charmant et mystérieux ourlé de carmin. Arrivée sur une petite butte Maîtresse immobilise son carrosse et, distribuant des ordres, me fait préparer les lieux et décharger la voiture. Je voudrais bien m’occuper de Mademoiselle « De Aragon » mais voilà, Maîtresse ne m’en laisse guère le loisir.

Du coin de l’œil, Leyla moqueuse et joueuse me lance des quolibets et tire la langue de temps à autres dès que Julie a le dos tourné. Celle-ci inspecte et dirige les opérations, ne me laissant nulle occasion de répliquer. Tout à coup Julie se penche sur les paniers et se tournant vers moi m’interpelle : « Mais enfin combien de fois dois-je te le dire, tu as encore oublié la nappe, où allons nous nous asseoir à présent ? »

A cet instant Leyla se penche vers son oreille et lui murmure en riant quelques mots, ce qui provoque l’hilarité de ma Maîtresse qui se tourne vers moi et me susurre d’une voix enjouée « peut importe tu seras donc notre tapi », puis se tournant vers Leyla pouffant de rire à la lisière de mon champs de vision lui adresse malicieuse « quelle délicieuse idée ma chérie », sans que le vent chaud ne me permette de capter la réponse.


L’instant d’après l’ordre claque « allons à poil et couches toi sur le dos ». Surpris par ces paroles inhabituelles dans sa bouche je la regarde, ce qui a pour effet de lui faire taper les talons d’impatience. Un claquement de ses doigts fins me tire de ma rêverie et en quelques instants me voilà nu comme un vers devant les deux filles amusées qui à leur tour se défont de leurs robes légères et printanières. A ma grande surprise, je m’aperçois qu’elles ont omis de porter le moindre dessous. « Décidément il y a dans cette folle équipée plus d’un étourdi, à moins que tout ne soit manigancé » me dis-je benoitement…

Mais je n’ai pas plus de temps de me poser d’autres questions car alors que mon champ de vision se réduit j’ai tout juste le temps d’apercevoir Leyla prendre possession de ma virilité déjà bien ragaillardie et de l’emprisonner dans son intime féminité. L’éclipse devient alors totale lorsque deux Lunes jumelles viennent occulter l’astre du jour et qu’une douce moiteur vient assaillir mes sens.

Des mains posées sur mon torse viennent me titiller, alors que je sens des doigts très fins pincer mes tétons. Le rythme de balancements alternés de hanches m’affole et j’ouvre la bouche pour respirer. Ma langue pénètre ainsi incidemment dans cet anus que j’ai si souvent envahi par le passé de toute autre manière alors que je suis chevauché par deux Valkyries au seins nus.


Me voilà réduit à l’état de jouet, de poupée. Je soulève mes hanches autant que je peux, mais avant que viennent ma jouissance, elles décident d’inverser leurs places. Elles se lèvent et je les vois se toucher et s’embrasser alors que de dessous, je perçois leurs lèvres intimes à travers le voile rouge de mes yeux agressés par cette lumière si vive.

Puis, mon horizon se réduit à nouveau et reprend cette danse horizontale à trois. Voilà mon nez transformé en appendice masturbatoire entre les lèvres intimes de la malicieuse barcelonaise où se mêlent le jus de sa jouissance aux prémices du mien. Pendant ce temps, j’entends celle a qui j’appartiens joindre ses râles à son amie. Je me sens alors partir et me tendre alors que nous jouissons tous trois à l’unisson.

Basculant toutes deux sur le côté, les deux femmes allongées près de moi, nous plongeons tous trois dans des rêves délicieux que nous ne quittons que pour nous rassasier. Et c’est ainsi, que voyant Phébus bien loin dans sa course céleste, ma Maîtresse donne le signal du départ et que à regrets, nous entamons rassasiés et heureux le retour vers le séjour de celle dont je suis le jouet.

(à suivre)

mercredi 5 juin 2013

Ay ay ay!


Dominant ou soumis ?