vendredi 21 juin 2013

Au sauna avec Maîtresse Julie 1


Nous sommes le vendredi et Leyla, la fière princesse Wisigothe, après une semaine endiablée nous a quittés pour s’en retourner dans sa Barcelone adorée. Les adieux furent éperdus et ma Maîtresse et son amie ne se quittèrent qu’après la promesse de se revoir très bientôt en son séjour, au septentrion. J’avoue m’être laissé gagner par l’émotion du moment, même si je tâche de le cacher de mon mieux. Mais je devine que ma Maîtresse n’est pas dupe et que ses yeux clairs m’ont depuis longtemps percé à jour. Après tout, n’est pas là un privilège de la Féminité ? Je ne l’en aime que plus.

Mais ma Maîtresse a bien des idées en réserve et en ce début d’après-midi, sur le chemin du retour de l’aéroport, en passant au centre-ville de Göteborg, la voilà qui s’arrête, se gare et me charge d’aller faire quelques menus achats avant d’aller la retrouver au sauna. Je me hâte, sachant qu’elle n’aime pas attendre. Il fait beau ce jour et tout en marchant dans les rues de sa ville, je ne puis m’empêcher de laisser mon esprit baguenauder, tout en admirant les passantes, leurs sourires enjoués dans leurs atours printaniers et chamarés.

Arrivé là, je me dirige vers les vestiaires pour revêtir la tenue de rigueur, à savoir une simple serviette nouée autour de la taille. Après une petite hésitation, un peut à contrecœur je me dirige vers la partie réservée aux hommes puis m’assois seul dans un coin au milieu de autres. La salle de sudation porte bien son nom, car je suis rapidement en sueur, mais que ça fait du bien !

Soudain, je l’aperçois au travers des brumes qui se tient sur le pas de la porte, une serviette nouée sous les aisselles et couvrant à peine sa chatte Divine à la vue de tous. Elle me cherche du regard, se penche et avant que j’esquisse un mouvement, se dirige hardiment vers moi et claquant des doigts, pointe un index impérieux vers ses pieds. Les autres hommes sont stupéfaits et, pour certains amusés. Aussi je me hâte sous leurs murmures à peine voilés de me diriger vers celle à qui j’appartiens.

La serviette masque à peine mon érection naissante et mon trouble s’accentue alors que je regarde le doux balancement de ses hanches. Je la rejoins et la suis avec peine alors qu’elle traverse l’établissement pour se diriger vers la partie réservée au beau sexe. « Je vais te montrer aux autres » me dit-elle guillerette, me gratifiant d’un de ses sourires tellement désarmants qui me transpercent et tissent autour de moi les fils de ma servitude.



Nous pénétrons dans la partie réservée aux Dames. Là je freine brusquement, n’osant trop dépasser l’entrée, restant sur ma réserve. Soudainement intimidé par tous ces regards qui se tournent vers nous, craignant les remarques que j’imagine hostiles, je m’adosse à un mur. Mais à cet instant et sûre de son effet, Maîtresse m’ôte en me faisant face, fait voler ma serviette et m’entraîne au centre de ce gynécée. C’est ainsi, que je pénètre à sa remorque sur cette scène improvisée. Elle se met alors à déclamer à cet instant « chères amies comme je vous l’avais annoncé, je vous présente ma dernière prise. » Des exclamations ponctuent cette entrée pour le moins théâtrale, dont je suis malgré moi l’acteur.

Mon membre, fort de ce traitement s’est entre temps bien ragaillardie, ce qui permet à Maîtresse d’ajouter fièrement une « regardez-moi ça mes chéries ! » alors que de mon côté je rougi. Aillant tenté de cacher l’objet de toutes les attentions Maitresse me rabroue, avant de se détendre et de continuer. Vous me toisez même l’air suffisant en me mettant au défi de dire combien de fois j’ai pu vous la mettre dans le cul. Devant sa superbe, je baisse alors les yeux et capitule, vaincu par notre dialogue silencieux, alors que les murs. Notre auditoire s’enhardi. Certaines de ces dames rient, d’autres commencent à me toucher.

S’éclaircissant la gorge, ma Maîtresse poursuit « mais ce n’est pas tout, car voyez-vous, il m’est tellement soumis qu’il peut même deviner mes désirs », puis après un silence et mes regards éperdus « d’ailleurs voyez vous-même ». Et joignant le geste à la parole, elle se tourne, exposant ses fesses aux formes rebondies que ne voilent plus la serviette. A cet instant, sans me faire prier et, je l’avoue un peu pour échapper à tous ces regards, à ces rires je me précipite, m’agenouille et enfouis ma tête dans son séant sous des acclamations tirant dans les aigus. Sans doute ne l’ai-je encore jamais fait aussi rapidement.



Un sourire de triomphe illumine son visage d’ange, tandis que les fou-rires lacèrent mes tympans. J’enfouis ma tête dans cette vallée profonde et darde en son centre une langue agile. Je pose mes mains sur fesses et lèche son anus devant un parterre de femmes, de parfaites étrangères, toutes dans leur plus simple appareil. L’une d’elles s’enhardi et effleure mon ans du doigt. Aussitôt, je me dandine derrière vous et tente d’échapper à cette main inquisitrice. A cet instant vous vous retournez afin de découvrir de quoi il retourne et à cet instant vous éclatez d’un grand éclat de rire en découvrant la scène qui s’offre à vos yeux.

Surpris, je me retrouve face à votre chatte et me hâte de m’enfouir dans le doux refuge de votre chatte qui me fait face. Vous me repoussez doucement, et en vous déhanchant avancez un de vos pieds mignons. Surpris, je me ressaisi et me jette à vos pieds sous les sifflets et les rires extatiques du public. A terre, je dépose mille petits baisers délicats sur ce pied amoureusement manucuré. Puis retirant son pied elle me tend son jumeau que je me dépêche de lécher à son tour.



Ce geste me vaut une nouvelle remarque de sa part « voyez comment il m’est soumis. » Sur ces mots elle se penche et m’introduit un doigt dans le cul sous les applaudissements. Sans y prendre garde, je poursuis ma vénération. Sentant votre main, je relève les fesses pour en faciliter l’accès. « Et il est à moi » ajoute-t-elle. « A vous Maîtresse » je réponds dans un souffle entre deux coups de langue.

« Je suis contente de toi mon soumis. » C’est l’instant que vous choisissez pour vous relever et aller vous assoir sur un banc. Vous écartez les jambes. Tournant la tête pour suivre votre mouvement, j’ajoute une « merci Maîtresse » plein de dévotion et à demi couvert par les commentaires grivois. Mais je n’en ai cure et suit à quatre pattes, sans plus y réfléchir ma Déesse.



Les autres femmes s’écartent doucement et je parcours une forêt de jambes galbées sous des regards hautains des rires et des mains baladeuses. La chaleur et les odeurs de transpirations m’assaillent les narines subitement alors que je m’installe sur les genoux entre vos jambes écartées. Ma langue se remet à l’ouvrage alors que vous me caressez la nuque en arquant vos reins sous l’effet de la montée de votre plaisir.

(à suivre)

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