samedi 22 juin 2013

Au sauna avec Maîtresse Julie 2 : une douce revanche...


Arrivée près du ban vous prenez possession du siège en vous retournant avec toute la grâce d’une reine. Arrivé près de vous, je m’installe à genoux entre vos cuisses que vous venez d’écarter, posant vos pieds de chaque côté du ban, en me présentant vos cuisses et dévoilant votre fruit si juteux. Immédiatement, j’enfouis mon visage dans ce paradis et active ma langue, écartant les lèvres intimes de mes doigts, hume et passe ma langue le long des muqueuses délicates.

Prenant mes mains, vous les posez sur vos seins. Je prélève délicatement chaque goute de jouissance émissaire de votre plaisir qui ne tarde pas à s’annoncer. A cet instant vous vous cambrez en frémissant tandis que je tâche d’aspirer chaque goutte s’échappant de votre puits de vie. Puis se relevant, Maîtresse remarque ma queue pleine de désir. Tandis que je me recule, le visage plein de se sécrétions intimes, elle se tourne vers l’assistance et interpelle : « voyez comme il est vigoureux les filles. Qui veut en profiter ? Est-ce que l’une d’entre vous est intéressée ? »

A ces mots, plusieurs voix se font entendre dans un concert de gloussements et de cris « moi, moi » entend-on ici et là. Je lève le visage et vous regarde légèrement troublé. D’un clin d’œil et d’une caresse vous me rassurez. Puis vous ajoutez, « celle qui voudra baiser mon esclave devra me baiser les pieds. » Un instant d’hésitation se fait dans l’auditoire. J’en profite pour me cacher derrière l’ombre protectrice des jambes de ma Maîtresse.

Enfin, une petite blonde dodue s’enhardi et se détache de ses consœurs et s’approche résolument. Je l’observe et lève un visage interrogateur. Mais ma Maîtresse regarde l’inconnue qui s’agenouille à ses pieds et les baise délicatement en s’abaissant avec grâce, levant les fesses bien hautes, offertes. « Quel joli petit cul » je me dis en me passant une langue avide sur les lèvres. Maîtresse baisse la tête vers moi et me la désigne du menton en me faisant un clin d’œil complice. « Si tu veux prendre ta revanche surtout n’hésites pas » me dit-elle joueuse et rieuse en insistant sur ces derniers mots.

Je contourne les jambes de ma Maîtresse, toujours à quatre pattes et me positionne derrière cette croupe alléchante. Je pose mes mains sur ses hanches commence à lui lécher la colonne vertébrale jusqu’aux omoplates. La fille frissonne surprise et ronronne de plaisir. Ma queue tendue effleure ses fesses tandis que Julie se penche pour soupeser un de ses seins ajoutant un « pas mal » d’un air de connaisseuse.

D’une main, je commence à caresser la chatte de la belle inconnue tout en levant les yeux pour guetter d’en bas l’assentiment de ma Maîtresse. Vous me souriez et me faites un clin d’œil complice. La fille tend se fesses en arrière pour m’offrir sa chatte toute grande ouverte. Ma queue effleure ses fesses et je vous adresse un baiser aérien. Positionnant ma queue en m’aidant de la main, je commence à pousser doucement contre son anus.

« Pas par-là » fait-elle faiblement. Vous vous baissez pour me la maintenir en place et me tendez les lèvres. Ma main continue à lui caresser doucement la chatte et à écarter les grandes lèvres. Relevant la tête je vous rends votre baiser. Ma main libre se pose sur votre poitrine. Les rires se taisent tandis que la jolie blonde continue de se faire envahir son joli petit cul.

Ses petits cris de douleur sont bientôt mêlés de plaisir. Je la pénètre cm par cm, tout en la caressant de la main. Son odeur et nos transpirations mêlées sont entêtantes. Poussant par à coup de mes reins, je la pénètre petit à petit jusqu’à la posséder complètement. Du coin de l’œil je vous vois la contourner et poser votre chatte contre sa bouche pour la museler. « Quel divin bâillon tout de même ! »tandis que votre opulente poitrine occupe à présent mon champs de vision et mes pensées.

Tout à mes mouvements de va et vient entre les fesses de notre jolie volontaire, je tente de saisir un téton entre mes lèvres. A cet instant je me tends et décharge ma semence brulante dans son cul offert. Elle geint légèrement. Me retirant à cet instant, je lève des yeux éperdus et pétillant vers ma Maîtresse qui me caressant la joue et m’ordonne souriante : « Tu as bien joué mon  chéri ? Allons essuies toi la queue. » Quittant cette étreinte, je me lève alors sur mes jambes flageolantes et obtempère sur les cheveux de mon « amante » sidérée.

Puis je rejoins ma Maîtresse et c’est à son bras que je quitte ce lieu où j’aperçois ici et là des mains légères caressantes et s’attardant sur des triangles secrets. Je tourne le visage vers ma Maîtresse qui me sourit. Reprenant nos serviettes à l’entrée du « gynécée, » nous nous séparons alors à regret pour rejoindre nos vestiaires respectifs. « Vraiment quelle chance est la mienne ! »

(à suivre)

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