Au matin alors que nous nous
éveillons, le bruit du portail et un bruit de moteur nous tire Angela et moi
des bras de Morphée. Alarmée, elle se lève d’un bond et, passant une petit
kimono de soie rose, se dirige vers la porte de séparation avec sa tante. Je la
regarde s’éloigner. Je laisse échapper un soupir de satisfaction alors que les
cheveux en bataille, la forme de ses fesses apparaît alors que vole la fine
étoffe au moment où elle saute au bas du lit.
Un instant plus tard, elle
revient toute essoufflée, une feuille à la main. Elle vient s’assoir près de
moi. Un rayon de soleil vient caresser ses cheveux qu’elle peigne lentement en
croisant ses jambes. Elle me tend la feuille. « Ma tante est partie pour
quelques jours » m’informe-t-elle. La maison et le jardin sont tout à
nous ». En me redressant je me colle à elle par derrière et lui prend les
seins à pleine mains en lui murmurant dans le creux de l’oreille « et toi
petite otarie, tu es toute à moi ».
Je fais glisser le kimono. Elle
soupire, rougis et baisse les yeux. « Hélène et ta Maîtresse viennent nous
rejoindre et devraient arriver dans un instant ». Surpris, j’interromps le
mouvement de ma main mais elle pose le peigne et pose sa main sur la mienne
puis m’entraine sous la douche en me tenant par la queue. Nous nous
frictionnons avec vigueur. Caresses, frôlements, senteurs parfumées, ainsi que
ses formes et la proximité de son corps redonnent à mon membre toute sa
rigidité. Les idées se bousculent dans ma tête. Je me vois déjà la prendre par
derrière dans la moiteur du lieu et jouir en elle.
Baissant les yeux, elle regarde
mon entrejambes avec envie. Un sourire narquois éclaire soudain son doux visage
d’ange. « Ainsi c’était vrai, ta Maîtresse te l’a fait faire. Elle a mis
sa marque sur toi, soumis à la queue rasée ». Elle rit et dirige le jet de
la douche dans mes yeux avant de se précipiter hors de la salle de bains en me
glissant entre les doigts telle une anguille.
Parvenue dans le jardin, en tenue
d’Eve, elle me nargue, dansant sur la pelouse de manière
suggestive, tout en sifflant gaiment. Le soleil du matin fait perler les gouttes d’eau sur sa peau tandis que le soleil fait ressortir sa blondeur. Je me décide enfin à la poursuivre, alors qu’un léger zéphyr me fait frissonner au moment où je passe le chambranle de la porte, un ruisseau s’écoulant sous mes talons.
suggestive, tout en sifflant gaiment. Le soleil du matin fait perler les gouttes d’eau sur sa peau tandis que le soleil fait ressortir sa blondeur. Je me décide enfin à la poursuivre, alors qu’un léger zéphyr me fait frissonner au moment où je passe le chambranle de la porte, un ruisseau s’écoulant sous mes talons.
Encore une fois, des bruits de
pas dans la gravillon de l’allée nous alertent un instant. Un concert de
« youhouuuu Angi » tonitruants et de rires suivis de chuchotements
nous laissent sans voix. Deux ombres s’allongent à l’angle de la maison, dans
le doux soleil du matin, suivies de près par leurs propriétaires, radieuses et
toutes bronzées. L’interpellée se précipite au-devant de ses amies et tandis
que les filles se congratulent et se saluent, je tente une retraite prudente
vers la maison, afin de trouver de quoi cacher ma nudité. Il n’est pourtant pas
nécessaire d’aller bien loin car ici et là gisent des pièces d’étoffe de toutes
formes et de toutes couleurs, éclatantes de Féminité, vivants témoignages de
nos ébats de la veille.
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