Sur ces entrefaites, notre
hôtesse revient, les bras chargés de friandises, avec jus d’orange, et boissons
fraiches pour notre quatre heures. Elle découvre la scène, s’en amuse et dépose
le tout sur la table. Puis amène deux écuelles, dont l’une remplie d’eau
qu’elle pose à terre. Puis elle se retourne et contemple la scène en se mettant
les mains sur les hanches. « Dites donc, vous ne vous en faites pas quand
je ne suis pas là ! », commente-t-elle l’air faussement courroucée.
« Viens ma chérie »,
l’invite Hélène en la prenant par la main, tu l’as bien mérité ». Sur ces
mots, Véronika avance sur mon torse et libère mon membre engorgé. Une nouvelle
grotte sacrée prend possession de ma virilité. Ballotté, enveloppé par toutes
ces Féminités, je grogne, pris par les ondes de mon plaisir contrarié. Mais mon
opinion a-t-elle une quelconque importance ?
Gémissements et petits cris sont
accompagnés de spasmes alors que les frôlements frénétiques se transforment en
spasmes. Je me retrouve inondé par leurs jus intimes. Les filles s’immobilisent
un instant puis se relèvent. La laisse se tend à nouveau et je suis entraîné
vers la table juste devant les écuelles, posées là à mon attention.
« Tu dois avoir chaud mon
toutou » déclare ma Maîtresse en agitant l’eau du bout de son index vernis.
Elle m’éclabousse le visage en riant. Puis les filles retournent à leurs
discussions, déposant à tour de rôle des reliquats de leur en cas dans une des
écuelles.
Honteux, je me désaltère. L’eau
fraiche coule dans ma gorge et autour de mes babines sous les rires.
« Nous avons un petit clown en guise de toutou » commente Hélène.
« Qu’il est mignon n’est-ce pas les filles ? » ajoute Maîtresse.
En guise de réponse, Angela se
positionne entre ses deux amies et écrase les morceaux de tarte aux
pommes dans
ma gamelle en riant. La délicieuse tarte, se retrouve en bouillie sur son
mignon petit pied. Elle me le tend alors qu’Hélène me pose un pied sur le dos.
« Hé bien lèches toutou impoli » m’intime ma Maîtresse.
Résigné et contrit je m’exécute,
littéralement affamé, le corps barbouillé des sécrétions intimes séchées des
filles et leur odeurs mêlées plein les narines. Mon sexe oppressé et tendu me
torture. « Si tu es sage » susurre ma Maîtresse dans l’oreille tout
en le caressant. « Mon joli toutou obéissant ».
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