samedi 20 août 2016

Dans le jardin des Hespérides 3 : plaisirs et bonne chair


« Ici Toutou » appelle ma Maîtresse « et dépêches toi nous avons faim » ajoutent en chœur Hélène et Angela. Me guidant à leur voix et à leurs rires, je me dirige à travers la maison, portant le plateau à la main, tandis que mon sexe tendu vibre telle une boussole affolée devant moi.

En arrivant sur la terrasse, je vois ma Maîtresse allongée sur la chaise longue, la robe relevée sur les cuisses, les ans cartés laissent apparaître son ample poitrine. Des lunettes de soleil sur les yeux elle agite un petit éventail tout en feuilletant un magazine. Elle s’en sert pour me claquer les fesses au moment où j’arrive à sa portée, en riant. Les verres s’entrechoquent ce qui déclenche une tempête de fous rires. Je rougis de confusion.

A table, les deux blondes papotent,
parlent chiffon et de l’air du temps. Elles m’invitent à m’approcher. J’obtempère et au moment de poser le lourd plateau, Angela me bloque entre ses jambes tandis qu’Hélène en profite, complice m’enroule le chouchou rose qu’elle a dans les cheveux autour des couilles et de la queue. « Voilà un joli paquet cadeau » ajoute-t-elle avec un clin d’œil complice à ses copines.

Je pose enfin le plateau, faisant danser liquides et les bols. « Doucement Toutou maladroit ou tu seras puni » déclare Maîtresse sentencieuse.  Sans perdre de temps, je dresse la table, alors que les deux blondes s’évertuent à m’exciter. L’une me caresse la queue, alors que l’autre écarte mes fesses pour tâter de l’index mon petit trou. Soudain, sentant la poitrine de Maîtresse dans mon dos, je me trouve pris en sandwich, le visage enfermé entre les seins généreux d’Hélène. Les deux filles s’embrassent par-dessus mon dos tandis qu’Angela fait aller et venir ses petits doigts en moi.

Honteux, confus d’être ainsi utilisé, je sens monter malgré moi mon excitation. Angela facétieuse caresse à présent mon gland, puis dirige ce gode de chair vers la fente de mon ancienne Maîtresse. « Tu en laissera un peu pour les copines » lui glisse-t-elle dans le creux de l’oreille. Me donnant une claque sur les fesses, elle lance un « hue toi, fais la jouir » tonitruant, auquel répondent des râles et des gémissements. Surprise, Hélène est secouée par une série de spasmes ponctués de petits cris.

Satisfaite, ma Maîtresse relâche son étreinte et se redresse alors que je tombe à terre, sur les genoux, des étoiles dans les yeux. « A présent déjeunons » décrète-t-elle. « Je meurs de faim ». Ajoute Angela. Sans attendre, les trois filles se servent tandis que je reprends mes esprits et se restaurent, me laissant pantelant, à genoux, à leurs pieds.

Maîtresse, constatant mon état, ramène la jambe droite au-dessus de la gauche, insère un morceau de croissant entre deux orteils et étend le pied jusqu’à mes lèvres. L’ordre sec tombe de sa bouche : « tiens, tu l’as mérité mon toutou » condescendant, que j’accepte toute honte bue, comme dans un rêve. Les filles s’interrompent un instant, un sourire aux lèvres, guettant ma réaction, puis reprennent leur conversation comme si de rien n’était. La journée ne fait que commencer.

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