« Ici Toutou » appelle ma Maîtresse « et dépêches toi nous avons faim » ajoutent en chœur Hélène et Angela. Me guidant à leur voix et à leurs rires, je me dirige à travers la maison, portant le plateau à la main, tandis que mon sexe tendu vibre telle une boussole affolée devant moi.
En arrivant sur la terrasse, je
vois ma Maîtresse allongée sur la chaise longue, la robe relevée sur les
cuisses, les ans cartés laissent apparaître son ample poitrine. Des lunettes de
soleil sur les yeux elle agite un petit éventail tout en feuilletant un
magazine. Elle s’en sert pour me claquer les fesses au moment où j’arrive à sa
portée, en riant. Les verres s’entrechoquent ce qui déclenche une tempête de
fous rires. Je rougis de confusion.
A table, les deux blondes
papotent, parlent chiffon et de l’air du temps. Elles m’invitent à m’approcher.
J’obtempère et au moment de poser le lourd plateau, Angela me bloque entre ses
jambes tandis qu’Hélène en profite, complice m’enroule le chouchou rose qu’elle
a dans les cheveux autour des couilles et de la queue. « Voilà un joli
paquet cadeau » ajoute-t-elle avec un clin d’œil complice à ses copines.
Je pose enfin le plateau, faisant
danser liquides et les bols. « Doucement Toutou maladroit ou tu seras
puni » déclare Maîtresse sentencieuse. Sans perdre de temps, je dresse la table,
alors que les deux blondes s’évertuent à m’exciter. L’une me caresse la queue,
alors que l’autre écarte mes fesses pour tâter de l’index mon petit trou.
Soudain, sentant la poitrine de Maîtresse dans mon dos, je me trouve pris en
sandwich, le visage enfermé entre les seins généreux d’Hélène. Les deux filles s’embrassent
par-dessus mon dos tandis qu’Angela fait aller et venir ses petits doigts en moi.
Honteux, confus d’être ainsi
utilisé, je sens monter malgré moi mon excitation. Angela facétieuse caresse à présent
mon gland, puis dirige ce gode de chair vers la fente de mon ancienne
Maîtresse. « Tu en laissera un peu pour les copines » lui glisse-t-elle
dans le creux de l’oreille. Me donnant une claque sur les fesses, elle lance un
« hue toi, fais la jouir » tonitruant, auquel répondent des râles et
des gémissements. Surprise, Hélène est secouée par une série de spasmes
ponctués de petits cris.
Satisfaite, ma Maîtresse relâche
son étreinte et se redresse alors que je tombe à terre, sur les genoux, des
étoiles dans les yeux. « A présent déjeunons » décrète-t-elle.
« Je meurs de faim ». Ajoute Angela. Sans attendre, les trois filles
se servent tandis que je reprends mes esprits et se restaurent, me laissant
pantelant, à genoux, à leurs pieds.
Maîtresse, constatant mon état,
ramène la jambe droite au-dessus de la gauche, insère un morceau de croissant
entre deux orteils et étend le pied jusqu’à mes lèvres. L’ordre sec tombe de sa
bouche : « tiens, tu l’as mérité mon toutou » condescendant, que
j’accepte toute honte bue, comme dans un rêve. Les filles s’interrompent un
instant, un sourire aux lèvres, guettant ma réaction, puis reprennent leur
conversation comme si de rien n’était. La journée ne fait que commencer.
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