Me voyant hésiter, Maîtresse
approche son pieds contre ma bouche en tapant des ongles sur le bois verni de
la table de jardin. Alors que j’ouvre la bouche pour protester elle m’enfourne
les orteils entre les lèvres. Puis les clos en appuyant sur mon visage de la
plante des pieds. « Regardes toutes ces miettes » observe-t-elle d’un
ton sévère. L’ordre tombe : « Nettoies moi ça tout de suite »,
qu’elle ponctue d’une claque du plat de ses jolis petits pieds vernis. Vexé et
contrit, je m’exécute sous les regards amusés des deux observatrices.
Je fronce les sourcils. Jamais je
ne me suis autant senti humilié. J’observe les deux blondes du coin de l’œil et
note combien elles sont assises, proches l’une de l’autre au point de se
toucher. Malicieuse, Hélène décroise les jambes et les écarte, me donnant une
vue imprenable sur son petit Temple. « Tu aimes » me demande-t-elle
en se penchant vers moi. A cet instant, son décolleté s’échancre
dangereusement. Son parfum entêtant m’enveloppe et me trouble. Se redressant
avec une étincelle dans les yeux, elle
glisse quelques mots dans l’oreille de ma Maîtresse tout en lui caressant un
sein.
De son côté, Angela repose son
bol. Elle fait glisser le kimono rose de son épaule droite, la main sur un sein
alors que je la vois se caresser discrètement sous la table, les jambes
serrées. En face ses vis-à-vis unissent leurs lèvres puis baissent le regard
vers moi. « Fais le beau toutou » ordonne-t-elle. Je me redresse sur
les genoux, le dos droit, les mains rassemblées devant la poitrine.
Aussitôt, Hélène s’empare de mon
sexe, qu’elle caresse lentement pendant que Maîtresse fait glisser un pan de sa
robe fleurie et dévoile un sein. « Vient prendre ta récompense »
murmure-t-elle. « C’est l’heure de la tété » ajoute Hélène moqueuse.
Rougissant encore, je geins.
Véronika fait glisser la robe
au-dessus de sa tête. J’allonge le cou, tandis qu’Hélène verse sur mon visage
et sur le sein offert, un peu de son bol de lait. Goulument, je lape le liquide
à même son mamelon sans me faire faire prier, gratifié de caresses sur la tête
et la joue, tandis que les aller et retours sur mon bâton de joie se font plus
rapides. Celui-ci serré dans les élastiques et engorgé ne peut cracher sa
semence et palpite, dur comme le roc. Je me dandine d’un genou sur l’autre,
excité et honteux.
Angela, que personne n’avait
entendu s’éclipser, revient rayonnante avec dans la main un sac d’où elle sort
un collier et une laisse. « Les filles, notre toutou a un grand besoin de
sortir je crois, allons le promener ». Je la regarde s’approcher d’un œil
méfiant et grogne de défit face à ce nouvel outrage.
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