« Nous verrons »
décrète Maîtresse sur un ton joyeux. « Allons nous restaurer. J’ai faim,
pas vous ? » Demande subitement Angela. « Il fait soif
aussi » répond Hélène « et notre toutou va être tout déshydraté le
pauvre » ajoute-t-elle avec un sourire malicieux. « Ma tante a laissé
tout ce qu’il faut » Répond Angela en parfaite petit Maîtresse
d’intérieur. « Sauf des croquettes pour toutou » ajoute Hélène.
« Il boulottera nos restes comme un bon toutou, ne vous en faites
pas » conclu Maîtresse en me caressant la tête. Je lui dépose un rapide
baisemain en lui jetant un regard interrogateur.
D’une traction sur la laisse elle
m’entraîne à sa suite, me faisant cheminer au milieu d’une forêt de jambes et
sous les rires joyeux des filles.
Arrivé au seuil de la maison, je freine, regrettant la douceur du contact de ‘herbe sous mes « pattes », les odeurs et la sensation du vent sur ma peau nue. « Allons toutou ne te fais pas prier » ajoute Hélène en insérant un index dans mon petit trou.
Arrivé au seuil de la maison, je freine, regrettant la douceur du contact de ‘herbe sous mes « pattes », les odeurs et la sensation du vent sur ma peau nue. « Allons toutou ne te fais pas prier » ajoute Hélène en insérant un index dans mon petit trou.
Surpris, j’avance d’un bond.
« Les mâles sont tous les mêmes » ironise-t-elle dans un soupir.
« Oui il suffit juste de savoir par quel bout les prendre ». ajoutent
en cœur les deux autres filles. Sous la supervision de Maîtresse, je dépose les
reliquats du petit déjeuner sur le plateau, puis viens me mettre à genoux entre
les deux transats où s’installent les filles. Pendant ce temps, Angela se
retourne à la cuisine prendre le nécessaire. « Tu vas nous servir toutou,
comme ça tu ne feras pas de bêtise » commente Maîtresse.
Elle écarte les jambes et tire
sur la laisse. Je m’apprête à grimper sur elle, mais la pression du corps
d’Hélène et de ses seins volumineux m’en empêche. « Avec la langue
glisse-t-elle » dans le creux de mon oreille. Avant de reprendre
possessions de moi.
J’entends et sent la respiration
de Maîtresse s’accélérer au rythme des assauts de mon ancienne Maîtresse qui
pousse de petits cris. Enfin elle me repousse et tandis qu’Hèlène se relève, me
fait allonger sur le sol, sur les coussins, avant de s’empaler sur mon membre.
Hélène s’installe alors sur mon visage et tend la bouche à son amie qui
l’embrasse en un langoureux baiser en lui caressant les seins. Pantelant, après
ces assauts, je n’oppose plus aucune résistance.
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