jeudi 25 août 2016

Dans le jardin des Hespérides 8 : objet de toutes les attentions

J’embrasse avec dévotion ses petits petons rehaussés de carmin sous les applaudissements des deux bondes. « Ca au moins c’est de l’amour » commente Angela pensive. « Quel retournement » lui répond Hélène avec un clin d’œil. Perdu dans mes pensées, je ne fais plus attention aux conversations, alors que les filles débattent de mon sort. Je remarque Hélène, toujours harnachée, portant par devant cet étrange objet oblong.

« Nous verrons » décrète Maîtresse sur un ton joyeux. « Allons nous restaurer. J’ai faim, pas vous ? » Demande subitement Angela. « Il fait soif aussi » répond Hélène « et notre toutou va être tout déshydraté le pauvre » ajoute-t-elle avec un sourire malicieux. « Ma tante a laissé tout ce qu’il faut » Répond Angela en parfaite petit Maîtresse d’intérieur. « Sauf des croquettes pour toutou » ajoute Hélène. « Il boulottera nos restes comme un bon toutou, ne vous en faites pas » conclu Maîtresse en me caressant la tête. Je lui dépose un rapide baisemain en lui jetant un regard interrogateur.

D’une traction sur la laisse elle m’entraîne à sa suite, me faisant cheminer au milieu d’une forêt de jambes et sous les rires joyeux des filles.
Arrivé au seuil de la maison, je freine, regrettant la douceur du contact de ‘herbe sous mes « pattes », les odeurs et la sensation du vent sur ma peau nue. « Allons toutou ne te fais pas prier » ajoute Hélène en insérant un index dans mon petit trou.

Surpris, j’avance d’un bond. « Les mâles sont tous les mêmes » ironise-t-elle dans un soupir. « Oui il suffit juste de savoir par quel bout les prendre ». ajoutent en cœur les deux autres filles. Sous la supervision de Maîtresse, je dépose les reliquats du petit déjeuner sur le plateau, puis viens me mettre à genoux entre les deux transats où s’installent les filles. Pendant ce temps, Angela se retourne à la cuisine prendre le nécessaire. « Tu vas nous servir toutou, comme ça tu ne feras pas de bêtise » commente Maîtresse.

Elle écarte les jambes et tire sur la laisse. Je m’apprête à grimper sur elle, mais la pression du corps d’Hélène et de ses seins volumineux m’en empêche. « Avec la langue glisse-t-elle » dans le creux de mon oreille. Avant de reprendre possessions de moi.

J’entends et sent la respiration de Maîtresse s’accélérer au rythme des assauts de mon ancienne Maîtresse qui pousse de petits cris. Enfin elle me repousse et tandis qu’Hèlène se relève, me fait allonger sur le sol, sur les coussins, avant de s’empaler sur mon membre. Hélène s’installe alors sur mon visage et tend la bouche à son amie qui l’embrasse en un langoureux baiser en lui caressant les seins. Pantelant, après ces assauts, je n’oppose plus aucune résistance.

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