Le soleil est déjà bien haut en
ce début d’après-midi, lorsque Maîtresse s’arrête sur une halte déserte de bord
de route équipée d’un coin de piquenique ombragée et à l’abri des regards de la
route. « Nous allons nous désaltérer » dit-elle « sors un peu de
là et suis nous ».
Hélène m’ouvre la portière
verrouillée par la sécurité enfant. Encore un de ces petits détails qui me
rabaissent et m’excitent, je l’avoue, à ma grande honte. Toutes ces petites
choses qui font que je suis sans arrêt ramené à ma condition d’inférieur et de
soumis par les filles, entièrement dépendant d’Elles.
Je pose un pas hésitant au dehors
alors que les filles me houspillent, m’enjoignant de me dépêcher. Elles amènent
le sac de voyage sur la table de bois moussue. Dans la fraicheur du sous-bois
et la pénombre, elles me font me déshabiller en me grondant sur mes manières.
« Regardes moi ça, un vrai sac à patates » gronde Hélène. « Mets
y un peu de cœur, regardes moi » ajoute Maîtresse. Sous leurs regards et
leur correction, je prends mon premier cours de strip-tease pour une
mystérieuse Dame dont elles ne disent rien.
Puis à demi satisfaites, elles me
font allonger sur la table, inspectent mon pubis et en ôtent quelques poils
rebelles tout en me surplombant. De leurs mots doux, quelques caresses et la
promesse de leurs décolletés, exposés à mes yeux avides, elles me distraient
pendant qu’elles font leur affaire.
Maîtresse grimpe soudain sur mon
torse emprisonnant mes bras entre ses jambes et fait glisser ses seins hors de
son corsage. Je frémi d’excitation alors qu’elle se baisse caressant de la clé
et la chaînette mon torse nu et emprisonne mon visage au creux de sa poitrine,
l’y maintenant par la pression de ses bras. Surpris, je tente de me débattre
pour happer un air devenu si rare. La clé caresse mes lèvres, telle la tête
d’un serpent, mue par une vie que lui prêtent les ondulations lascives de Véro.
Je sens confusément Hélène
agripper mes jambes l’une après l’autre sans ménagement et y faire glisser un
vêtement. Sentant l’air frais sur mon membre, je comprends que seul lui est
exposé, tout raide et engorgé. Quelques coups de langue que je devine sur ce
pieu de joie, des mains qui pressent mes boulles gonflées, puis vont et
viennent sur toute la longueur de ma virilité.
Mon excitation grandit et je
souffle et grogne dans mon tendre bâillon. Si bien qu’au bout d’un moment de ce
manège, j’explose dans la bouche de la blonde. Maitresse se redresse alors et
elle m’embrasse à pleine bouche alors que je tente d’aspirer une longue goulée
d’air frais.
Hélène penche son visage d’ange
au-dessus de la mienne, encadrée de sa chevelure de feu. Sa langue s’immisce
entre mes lèvres et elle y recrache ma semence. Pendant ce temps, voyant que ma
virilité reprend des proportions plus modeste, Maîtresse se penche et je la
surprends du coin de l’œil alors qu’elle l’emprisonne dans une cage argentée et
froide au toucher. « Click. »
Satisfaites, mes filles
contemplent leur œuvre et me font me relever. Elles sourient et se
congratulent. Je me redresse et regarde le résultat. Une sorte de petit short
moulant enserre mes fesses alors que devant, ma virilité exposée est emprisonnée,
contrainte en position basse.
Les deux filles voyant mon air
mari me rassurent et caressent mon visage en portant leurs seins à ma bouche.
Je grogne, me sentant enserré dans cet étui inconfortable. Hélène malicieuse
passe les mains sur mes fesses alors qu’une main exploratrice pénètre mon petit
trou, m’informant de ma vulnérabilité. Ma laisse est à nouveau attachée et
sécurisée par le cadenas.
Enfin, exhibant les petites clés
comme autant de trophées, elles me font ramasser mes affaires alors qu’elles se désaltèrent. « Tu es
trop hésitant pour obéir et là où nous allons il ne faudra pas. » me
sermonne Maîtresse. « Tout à fait, c’est pour ton bien » ajoute
Hélène en souriant d’un air compréhensif, me caressant le .visage du plat de la
main.
A leur invitation, je remonte
dans la voiture où je suis désormais plus prisonnier que jamais. Malgré la
climatisation, l’habitacle est pour moi un enfer. Je pose sur ma virilité, sous
le regard goguenard des filles, un petit foulard de soie, à la foi pour me
masquer des regards étrangers à nos « conventions » pour essayer de
me préserver des rayons du soleil.
Un crachotement et une voix
l’apostrophe depuis l’intérieur. Je me fige, me sentant dévisagé. Hélène se
retourne reprend son foulard en me faisant un clin d’œil malicieux. « Rend
moi ça petit coquin, tu n’en auras pas besoin de toutes manières. »
La porte automatique s’ouvre en
grinçant sur ses gonds et nous entrons dans ce domaine et vers de nouvelles
aventures alors qu’une soudaine angoisse m’étreint.
J adore et ma queue aussi...hummm
RépondreSupprimerJ adore et ma queue aussi...hummm
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